Organisateur : Institut français du Japon
Avec le soutien financier de la Fondation Sasakawa
Jacques Ferrandez
Fuminori Nakamura
Né dans la préfecture d’Aichi en 1977, diplômé de l’université de Fukushima, Fuminori Nakamura débute sa carrière d’écrivain en 2002 avec Jû (Un pistolet), couronné du prix Shinchôsha des jeunes auteurs, et reçoit en 2004 le Prix Noma des jeunes auteurs pour Shakô (Obscurcissement), avant d’obtenir en 2005 le prix Akutagawa pour Tsuchi no naka no kodomo (L’Enfant dans la terre). Enfin, en 2010, il est récompensé du prestigieux prix Kenzaburo Oe des mains mêmes de l’auteur nobélisé, pour Pickpocket. Influencé dès ses premiers écrits par l’oeuvre d’Albert Camus, ses livres aux échos camusiens continuent toujours de toucher un lectorat de plus en plus élargi.
Source: Babelio
Hiroshi Mino
Hiroshi MINO est licencié de l’Université de Kyoto et docteur de l’Université de Clermont-Ferrand. Professeur émérite de l’Université de Nara-joshi, il est vice-Président de la Société des études camusiennes et président de la Section japonaise de cette société. Il a publié le Silence dans l’œuvre d’Albert Camus (Paris, Corti). Il a traduit en japonais : Albert Camus, La Peste.
司会
Etsuko Aoyagi
Professeur à l’Université de Tsukuba, Japon. Doctoresse ès lettres. Elle a publié notamment des articles sur la critique littéraire en général et sur la littérature francophone. Les principaux livres qu’elle a publiés en japonais incluent La Pensée littéraire de Jacques Derrida et les « Mille et une nuits » (2009) ainsi que la traduction en japonais du Fils du pauvre de Mouloud Feraoun (2016), L’Étranger, L’Hôte et Le Premier homme de Jacques Ferrandez [adaptations en bande déssinée des ouvrages d’Albert Camus] (2018-2019), ainsi que Le Village de l’Allemand de Boualem Sansal (2020).